Comment bien choisir les pommes de terre ?
1- Deux critères sont importants : la fermeté et l’uniformité de la couleur.
2- Choisissez-les en fonction de ce que vous voulez cuisiner pour ne pas être déçu du rendu final. Les nombreuses variétés de pommes de terre, classées en 3 catégories (fondante, ferme et farineuse) permettent de diversifier les recettes. Les pommes de terre sont plus subtiles qu’elles en ont l’air !
- Pour des purées : des pommes de terre à la chair fondante (la Monalisa) ou farineuse (la Binjte – la meilleure pour les purées et les frites ! Les Nordistes en savent quelque chose -, la Caesar, puis la Manon, la Marabel et la Vitelote (pour ceux qui aiment la purée au goût de noisette et de couleur violette).
- Pour des frites : des pommes de terre à la chaire farineuse : la Binjte et la Caesar, suivie par la Manon et la Marabel.
- Pour des salades, des sautés, des cuissons à la vapeur : des pommes de terre à la chair ferme (l’Amandine, l’Annabelle, la Belle de Fontenay, la Chérie, La Charlotte, la Franceline, la Pompadour, la Ratte et la Roseval), ou à la chaire fondante (l’Agata, la Nicolas)
- Pour des pommes de terre cuites au four avec la peau : des pommes de terre à chair fondante (la Samba, puis la Nicolas et l’Agata).
Comment bien conserver les pommes de terre ?
Evitez les chocs lors du transport : ils peuvent provoquer des blessures qui vont faire noircir la pomme de terre. Toute pomme de terre noire ou verte (même en partie) est à jeter, car elle est impropre à la consommation.
Comme tout produit frais, les pommes de terre se conservent mieux à l’abri de la lumière (qui les rend vertes et leur donne un goût amer) et à l’abri de la chaleur et de l’humidité (qui les fait pourrir). L’idéal est une cave ou le bas du réfrigérateur, ou l’arrière cuisine fraîche.
La terre sur les pommes de terre terreuses, comme on en trouve souvent sur les marchés, permet aussi de les conserver plus longtemps – en les mettant quand même dans un endroit frais et sans lumière.
Les pommes de terre germées peuvent être mangées, mais elles sont molles et ont perdu beaucoup de leurs qualités nutritionnelles et de leur goût. La germination se fera moins vite si on ajoute une pomme aux pommes de terre.
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je sais qu’il faut vivre avec son temps , mais dans les modes de cuisson proposés pourquoi mentionner le micro ondes, avec les effets néfastes qu’il engendre.
est on si pressé qu’on ne puisse attendre 20 à 30 mn de cuisson « normale »? nous avons déjà portable , ordi et autres polluants électro magnétiques, « ce n’est pas la peine d’en rajouter »
Je sais qu’il faut vivre avec son temps, mais pour quoi toujours chercher la petite bête?
On aurait également pu proposer une cuisson au feu de bois (mais cela dégage du dioxyde et du monoxyde de carbone, sans parler de l’effet nefaste des allumes feu)
On aurait pu parler des dangers de la cuisson sur plaque électrique à cause de la provenance de l’electricité (nucléaire, energie carbonne)
On aurait pu parler de la cuisson au gaz naturel, mais là encore à moindre mesure cela polue (infrastructures, acheminement)
Ne reste plus que le four solaire… (mais là encore faut il le construire). Donc je vous propose de manger vos pommes de terre crues, ainsi votre impact sur notre mère nature ne sera due qu’à l’acheminement des pommes de terres jusque dans votre réfrigérateur. à moins évidemment que vous les cultiviez vous même.
Non, ça ne sera pas la peine d’en rajouter.
PS: Prennez quand même garde à votre réfrigérateur, il consomme de l’energie, emmet des radiations, et contient des matériaux toxiques.
Les pommes de terre sont riches en potassium ; l’agriculture “moderne” produits des légumes bien trop pauvres en potassium dont le déficit, sinon causerait, du moins aggraverait un nombre important de maladies et parmi elles les maladies cardiovasculaires.
Suivant un article publié en 1985 dans la revue scientifique The New England Journal of Medicine, intitulé « Paleolithic Nutrition », nos ancêtres chasseurs-cueilleurs consommaient 11 g de potassium par jour et 0,7 g de sodium. Cette proportion s’est aujourd’hui inversée, le régime moderne actuel apportant plutôt 2,5 g de potassium par jour et 4 g de sodium. Le chlorure de sodium (sel alimentaire) est toxique alors que le sodium est nécessaire.