Cet article a été sponsorisé, mais nous gardons notre liberté éditoriale et y avons écrit ce que nous pensons.
Les petits défauts de la box bio de Bjorg
Les moins
– un taux de lipides trop élevé : 6,4 g/100g. Les recommandations santé en matière de lipides pour les plats cuisinés sont de 5 g/100g. On est donc bien au-dessus avec ce plat. En cause : la crème et l’huile de tournesol.
– la répartition des nutriments n’est pas optimale pour un plat qui se classe dans la catégorie « repas » chez Bjorg : pas assez de protéines (8,8 % alors qu’il en faudrait entre 10 à 12 %), tout juste assez de glucides (49,6 % alors qu’il en faudrait entre 50 et 55 %) et un pue trop de lipides (36,4 % alors qu’il en faudrait entre 30 et 35 %, selon les recommandations de l’ANSES*).
Il faut donc rajouter d’autre glucides du pain, des fruits ou un légume) et des protéines (une tranche de jambon par exemple, ou un oeuf) à ce plat pour avoir un bon équilibre nutritionnel. Le taux de lipides trop haut se corrige sur la journée, en mangeant moins gras le matin et le soir.
– une ration trop petite : 250g seulement, au lieu des 300 g recommandés pour des plats tout prêts. On risque donc d’avoir faim après ! Mieux vaut compléter le repas, comme je le suggère juste au-dessus pour tenir l’après-midi.
Verdict de la nutritionniste :
Ce plat est surtout plus pratique que vraiment nourrissant et équilibré. Mais il est bon, et peut dépanner. En lui ajoutant une entrée, un laitage et une autre source de protéines végétales ou animales, il peut faire l’affaire pour les plus pressés.
*
*Agence Nationale de Sécurité Sanitaire alimentation, santé, travail
Des questions ?
Écrivez à notre Journaliste Diététicienne-nutritionniste D.E. et elle répondra à vos questions.
Le gros problème des produits bio qui sont produits par des industriels, qui ont voulu investir un marché sans se donner la peine de le comprendre vraiment et en utilisant toujours leurs méthodes habituelles: l’esbroufe et la demi-vérité.
Si vous observez bien les emballages de leurs produits, Céréal Bio par exemple, vous trouverez souvent l’indication suivante : »Provenance UE et hors UE » hors, si les conditions de production bio en France sont draconiennes, dans les autres pays elle est souvent très moyenne, voire exécrable comme en Roumanie par exemple; et hors Union Européenne, je ne vous en parle même pas !
Pareil pour les fruits et légumes « bio » des grandes surfaces dont l’origine bio est très douteuse: j’ai conservé des tomates achetés en dépannage et qui ont tenu 2 semaines sans mûrir et sans avoir de goût !
Bonjour,
En ce qui concerne l’emballage, est-il sans bisphénol A ? Je rejoins Simon sur son observation concernant les couverts…
Merci de votre réponse
Le gros problème des produits bio qui sont produits par des industriels, qui ont voulu investir un marché sans se donner la peine de le comprendre vraiment et en utilisant toujours leurs méthodes habituelles: l’esbroufe et la demi-vérité.
Si vous observez bien les emballages de leurs produits, Céréal Bio par exemple, vous trouverez souvent l’indication suivante : »Provenance UE et hors UE » hors, si les conditions de production bio en France sont draconiennes, dans les autres pays elle est souvent très moyenne, voire exécrable comme en Roumanie par exemple; et hors Union Européenne, je ne vous en parle même pas !
Pareil pour les fruits et légumes « bio » des grandes surfaces dont l’origine bio est très douteuse: j’ai conservé des tomates achetés en dépannage et qui ont tenu 2 semaines sans mûrir et sans avoir de goût !
Plastique + four micro ondes= CANCER !
Bonjour,
En ce qui concerne l’emballage, est-il sans bisphénol A ? Je rejoins Simon sur son observation concernant les couverts…
Merci de votre réponse
>>> un emballage pratique, livré avec une fourchette. Parfait quand on n’est pas chez soi et qu’on a oublié de prendre des couverts.
Parfait pour vous peut-être, mais pas pour l’environnement ! Greenwashing!
Moi aussi, je l’ai essayé mais apparemment nous n’avons pas les mêmes goûts ; j’ai dû lui rajouter un gros morceau de beurre pour pouvoir l’avaler