Claire Keim, une star écolo aux multiples visages

Chanson, cinéma, théâtre, télévision… tout réussi à la jolie Claire Keim ! Malgré un agenda impressionnant, l’artiste prend le temps nécessaire aux actions écologiques et citoyennes. Bravo Claire !

Rédigé par Annabelle Kiéma, le 5 Nov 2011, à 17 h 42 min
Claire Keim, une star écolo aux multiples visages
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Ambassadrice de charme de la biodiversité

Comme elle le confie régulièrement  lors d’interviews accordées aux magazines, l’actrice/chanteuse est particulièrement sensible à la disparition des espèces. Ce n’est pas son compagnon, Bixente Lizarazu, qui dira le contraire !

Marraine de la Fondation pour la Nature et l’Homme

Sa rencontre avec Nicolas Hulot en 2003 la poussera à s’engager encore davantage pour l’écologie.

La protection de la biodiversité, Claire Keim en a fait son combat en participant à sa première campagne « Sans nature pas de futur … parce que nos vies sont liées » lancée par la Fondation. Elle a été la marraine de cette campagne qui s’est déroulée de 2004 à 2007. L’objectif était de sensibiliser et d’informer le grand public à l’importance et à la fragilité des écosystèmes, afin que tous agissent en conséquence.

Signataire du Défi pour la Terre, sa campagne n’a pas été son unique action en faveur de la biodiversité.

La défense d’espèces menacées

Claire Keim, très sensible à la fragilité des écosystèmes s’implique dans la protection d’espèces animales comme la tortue d’Hermann du massif des Maures, dont l’habitat est menacé par les incendies malheureusement fréquents de la garrigue.

Elle est aussi la marraine de l’association « SOS Grand Blanc ». Le grand requin a mauvaise presse ; les films catastrophe comme les Dents de la mer qui nous ont tous fait frissonner n’y sont pas étrangers. Le requin blanc « mangeur d’hommes » effraie. Pourtant, il est lui aussi menacé de disparition au même titre que les bébés phoques pour qui on a tous de la tendresse. L’espèce met du temps à se reproduire, ce pourquoi sa survie est menacée ; il se pêche beaucoup plus de requins blancs qu’il n’en naît. Heureusement, le Grand Requin Blanc est inscrit, depuis octobre 2004, à l’annexe II de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de la flore sauvage menacés) qui identifie les espèces vulnérables dont le commerce est réglementé. Le protéger est une nécessité.

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La suite p.3> Claire Keim se bat pour ses semblables

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Je fais partie de ce qu’on appelle désormais les « slasheurs » : je suis rédactrice / sophrologue / et j’enseigne le français comme langue...

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