Betterave sucrière : la plante à tout faire !

Rédigé par Aurore, le 29 Dec 2011, à 17 h 14 min
Betterave sucrière : la plante à tout faire !
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Betterave sucrière : mélasse, levure et alcool

Si la betterave sucrière alimente les marchés du sucre, du bioéthanol et de l’alimentation animale, elle a bien d’autres utilisations.

Mélasse et bilan environnemental

Peu attirante avec un aspect visqueux foncé, la mélasse est un résidu de l’extraction du sucre de la betterave. Riche en saccharose, la betterave peut être utilisée dans la production d’alcool, de levure de boulangerie ou encore être ajoutée à l’alimentation animale.

Côté environnement, les planteurs sont attentifs aux enjeux environnementaux. Depuis 1983, l’usage de produits phytosanitaires a diminué de 50 % ; l’apport en azote de 40 % par tonne de betterave produite et l’apport en eau et l’irrigation sont mieux contrôlés.

Si la betterave sucrière est depuis quelques temps déjà utilisée dans l’essence, est-ce qu’elle ne serait pas digne d’avoir plus de place à l’avenir ?

Pour plus d’informations : rendez vous sur le portail de la betterave sucrière.

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Cela me donne une idée

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9 commentaires Donnez votre avis
  1. Aimerions mettre un pied dans l’agriculture.
    Nous lancer dans la culture de la betterave sucrière comme cela se passe au Maroc.
    L’assistance sur les techniques de cette culture ,et la mise en place d’une usine dans les QQs hectares disponibles nous serait d’un grand apport.
    aux eventuels partenaires intéressés ,la localité est au Sénégal.
    Bien a vous

  2. je peux vous confirmer que tout cela est très ennuyant mais très comment dire a dormir debout ,… voil

  3. Madame, Monsieur,

    Je vous informe avoir fait un lien vers votre article dans ma rubrique hebdomadaire :
    /lejardindepascaline.blogspot.com/2012/01/commerages-sur-le-jardin-n20.html

    Si vous y voyez un quelconque inconvénient, je le retirerai à votre demande.

    Je suis aussi à l’écoute de toute forme de partenariat.

    Cordialement,

    Pascaline SCATENA

  4. On a plutot implanté les sucreries à proximité des zones de production des betteraves!
    Ah! le journalisme….

  5. c’est bizn que le monde s’interresse a tous se qu’on peut extraire de la plante moi je m’interresse a la gomme de l’accacia et comment faire extraires des huiles je n’ai pas de materiel

  6. Rectification : le cycle de la betterave sucrière (comme la fourragère d’ailleurs , ou la potagère ) n’est pas de 2 ans , mais elle peut arriver à maturité en six mois , voire sept ou huit au plus .
    J’ai été betteravier pendant 40 ans , je produis des betteraves fourragères (et potagères pour ma consommation ), et je puis vous garantir que des betteraves qui passent un hiver en terre montent invariablement à graine quand la gelée a touché la plante .

    • Aurore

      Carlier,

      Voici plus de précisions, si la betterave sucrière est une plante dite bi-annuelle, avec un cycle de deux ans donc, la culture de la betterave uniquement pour son sucre dure, elle, 200 jours soit environ six mois.

      Bonne journée

  7. Un petit complément peut être avec la betterave. Je fonde plus d’espoir sur la production industrielle d’algues ( tests en cours en Espagne ) qui ne prend pas de place et semble très prometteur. A suivre

  8. Il manque quelques chiffres fondamentaux dans cet article :
    1/ Quelle surface, en France, pourrait-on libérer pour l’agro-éthanol sans perturber la production alimentaire ?
    2/ Avec cette surface, quelle quantité de pétrole serait-on capable de remplacer ?
    D’après mes informations, cette quantité maximale, sans être négligeable, représenterait moins de 10% de notre consommation pétrolière. Donc, cette proposition n’est pas la panacée universelle, même si elle est beaucoup plus constructive que la prime à la jachère de l’union européenne.

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