Reportage slow aux Maldives, paradis zéro carbone

Rédigé par Jean-Marie, le 18 Jun 2013, à 17 h 34 min
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SLOW LIFE : durable, local, bio

soneva_fushi maldivesPour rejoindre le Soneva Gili, il ne faut que 20 minutes en speedboat depuis la capitale. Le temps de se débarrasser des chaussures et des les ranger dans un petit sac en toile recyclée où elles resteront pour obéir à l’injonction « No news no shoes ».

No shoes sur le sable blanc, les espaces en bois poli, sur les vélos dont les pédales sont recouvertes de confortables chaussettes de coton. No news parce qu’il faut fouiller pour trouver l’écran plat caché derrière le mur en bambou et ne pas utiliser son portable dans les lieux publics. Car si, bien sûr, l’offre se veut résolument au service du client qui peut obtenir absolument tout ce qu’il souhaite – en appelant son Mr Friday, clin d’oeil au livre de Robinson Crusoe déposé sur la table de nuit, joignable jour et nuit -, une opération d’éducation subliminale sur la clientèle est bel et bien en marche.

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S’adonner à un rythme de vie  ralenti

On l’appelle le SLOW LIFE – sustainable, local, organic, wholesome. Ici, on vit durable, local, organique et sain. Le vrai luxe est là : pas de pollution, pas de bruit sauf ceux de la nature, reconnexion avec soi et la nature préservée. C’est l’intégration intelligente et respectueuse au sein d’un environnement qu’on nous demande de partager à travers des pratiques durables.

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Ce qui, du haut de l’observatoire astronomique niché dans les arbres, sous notre douche à ciel ouvert ou dans la baignoire transparente au-dessus de l’océan, à table avec les plus grands chefs de la planète, sous l’eau en compagnie des espèces colorées les plus belles ou plongé dans un bon livre sur la terrasse de notre villa de 210 m2 (elles vont jusqu’à 1.400 m2, comme la Private Reserve, accessible par bateau et que vous pouvez acheter – une première aux Maldives), n’est franchement pas insurmontable.

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Jean-Marie Boucher est le fondateur de consoGlobe en 2005 avec le service de troc entre particuliers digitroc. Rapidement, il convertit ses proches et sa...

4 commentaires Donnez votre avis
  1. après lecture de ce reportage, ma réflexion porte sur le fait que ce tourisme de luxe n’attire que ceux qui ont les moyens financiers pour le pratiquer. Et ces mêmes personnes qui ont les moyens financiers, comment gagnent elles cet argent ? grâce aux bons résultats de holding qui « œuvrent »( faire un maximum de résultat ) dans des pays sous développés ? dans des pays où la main d’œuvre est moins cher ? Nous pouvons donc dire que c’est un « juste retour des choses » ?

  2. Il y a + de 40 ans, (déjà ?) je rêvais d’y aller… avant qu’elles ne soient submergées !!! Je passais (déjà !)pour une « illuminée »…
    Mes moyens (comme Evita) ne l’ont jamais permis et ne le permettent toujours pas…
    Alors je continue de rêver derrière mon PC en espérant de toute mes forces que ces bouts de paradis ne disparaitront pas et que les générations futures ne se demanderont pas si tout cela a vraiment existé…

  3. les hôtels paradisiaques c’est vrai! seulement ils charrient des tonnes d’ordures en tout genre qui sont brulées à ciel ouvert sur une ile près de Malé, de plus les iles habitées par la population locale sont de véritables iles ordures ( je les aient « visitées » )alors l’écologie des Maldiviens bof!
    quand a la montée des eaux c’est vrai beaucoup d’iles hôtel pompent du sable au large pour le rependre sur les plages,ce sable est égallement mis en sac et est calé au pied des cocotiers pour éviter l’érosion…moralité ou l’homme va…..dépêchez vous quand même d’y d’aller , une fois dans votre vie, le temps presse!

    • j’ai pas les moyens jenace !

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