Anti-vaccins : plus le droit de refuser, un recours contre la présence d’aluminium est lancé

Alors que la présence d’aluminium dans les vaccins fait toujours polémique, le ministère de la Santé pourrait supprimer ou limiter fortement l’utilisation de la « clause d’exemption », qui permet aux parents de refuser certaines vaccinations pour leurs enfants.

Rédigé par Émilia Capitaine, le 10 Aug 2017, à 10 h 13 min
Anti-vaccins : plus le droit de refuser, un recours contre la présence d’aluminium est lancé
Précédent
Suivant

Alors qu’un collectif vient d’adresser une lettre au ministère de la Santé demandant le retrait des sels d’aluminium des vaccins, la clause d’exemption, qui permet aux parents de refuser la vaccination de leur enfant au nom de leurs « convictions personnelles », pourrait disparaître.

Un collectif anti-vaccins demande le retrait des adjuvants à l’aluminium

Le 4 août 2017, un collectif a adressé un recours gracieux au ministère de la Santé pour demander le retrait des adjuvants à base d’aluminium. Cette lettre de douze pages, intitulée « Demande préalable », a été écrite par un collectif de 1.250 personnes, regroupant des parents, des cadres, des ingénieurs et des membres du corps médical.

vaccins aluminium

Depuis plusieurs années, l’utilisation des sels d’aluminium dans les vaccins comme adjuvants est controversée. Selon le collectif, cette substance aurait « des effets secondaires néfastes tant pour les enfants très jeunes que pour les adultes ».

L’aluminium est utilisé dans de nombreux vaccins : le vaccin DTP (diphtérie, tétanos et poliomyélite) administré dès la petite enfance, le vaccin contre l’hépatite B et le vaccin contre le papillomavirus humain (HPV).

Les anti-vaccins pourront-ils faire valoir la clause d’exemption ?

Mais dès 2018, les enfants devront obligatoirement être vaccinés contre 11 maladies. « La décision, ferme, d’étendre la vaccination obligatoire pour les enfants est prise. Il faut désormais la mettre en oeuvre », a indiqué le ministère de la Santé dans une lettre envoyée au Conseil d’État.

Début septembre, le ministère de la Santé tranchera la question de la « clause d’exemption », cette disposition qui permet aux parents opposés « par conviction » à la vaccination de leurs enfants de ne pas s’y soustraire. D’après une information du Parisien, le ministère y serait plutôt défavorable : « Comme la décision prise est fondée sur un impératif de santé publique, il pourrait paraître contradictoire que des personnes puissent s’en exempter, si ce n’est, bien sûr, pour des raisons médicales. Cela semble poser des problèmes juridiques mais surtout de clarté du message », aurait confié l’entourage de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, au quotidien.

Or, selon Didier Lambert, le président de l’association E3M, si des parents refusent certaines vaccinations, c’est en raison de la présence de sels d’aluminium. « C’est à cause de cela que les Français sont si méfiants. Si on résout le problème de l’aluminium, il n’y aura besoin ni d’obligation ni de clause ! », a-t-il déclaré dans les colonnes du Parisien.

Illustration bannière : vaccin ©Africa Studio
Pour vous c'est un clic, pour nous c'est beaucoup !
consoGlobe vous recommande aussi...




10 commentaires Donnez votre avis
  1. Vous pourriez indiquer de quel collectif il s’agit svp …… ?????

  2. Nouvelles révélations scandaleuses sur les vaccins

    Chère lectrice, cher lecteur,

    Après les révélations de l’économiste Charles Sannat sur les opérations financières du leader des vaccins Sanofi (proche de Macron), d’autre révélations explosives :
    Des nanoparticules toxiques dans les vaccins

    Une étude publiée dans l’International Journal of Vaccines et portant sur 44 types de vaccins commercialisés en France et en Italie montre la « présence de contaminants particulaires à ce jour inexpliquée.1»

    Ce sont des particules qui ne sont ni biodégradables ni biocompatibles : tungstène, titane, zirconium, hafnium, strontium, aluminium, nickel, fer, antimoine, chrome, or, zinc, platine, argent, bismuth, cérium, cuivre, plomb, étain, baryum, vanadium, magnésium, souffre, silicium, calcium, sodium, manganèse…

    On sait que ces métaux sont dangereux :

    L’injection intramusculaire de microparticule de tungstène, cobalt et nickel chez des rats de laboratoires a rapidement causé l’apparition de cancers avec tumeurs métastatiques agressives. Les autres métaux ont une longue liste d’effets inquiétants.2

    Or on trouve cependant du nano tungstène combiné ou non, dans les vaccins Infanrix Hexa, Typhérix, Priorix du laboratoire GlaxoSmithKline, dans le vaccin Menjugate de Novartis, dans les vaccins Prevenar et Meningitec du laboratoire Pfizer, dans le vaccin Meningitec de Wyeth Pharmaceutical (UK).

    « La présence de ces nanoparticules dans les vaccins permet d’étudier sous un angle nouveau les causes de certains effets secondaires.

    Elle permet également une nouvelle approche quant aux accidents post-vaccinaux et certaines maladies qui en découlent, autisme, sclérose en plaque, désordres immunitaires, maladies neuro-dégénératives, voire mort subite du nourrisson… », explique F. Morin sur le site de la newsletter Morpheus.3
    Les vrais enjeux financiers autour des vaccins

    Le journal Le Monde a marqué les esprits, et déclenché l’hilarité générale, en expliquant que la multiplication des vaccins obligatoires n’était « pas si juteuse que cela ». « Quelques millions de bénéfices seulement » pour l’industrie pharmaceutique, avançait le journaliste.4

    Un article du Dr Michel de Lorgeril, sur son site, révèle l’ampleur de la manipulation.

    En réalité, les vaccins sont la pierre d’angle des profits de la future industrie pharmaceutique du 21e siècle. Ce ne sont pas des millions, ni même des milliards dont il est question mais des centaines de milliards.

    En effet :

    « Les vaccinologues modernes s’intéressent à toutes les pathologies : les cancers, les maladies cardiovasculaires et même… (certains en parlent) un vaccin anti-gluten… », explique le Dr Michel de Lorgeril.5

    « Certains labos travaillent, je ne plaisante pas, sur un vaccin anticholestérol ; qui serait en fait « dirigé » contre des molécules participant au métabolisme du cholestérol, et pas contre le cholestérol lui-même ; avec l’idée absurde de diminuer le cholestérol circulant aux plus bas niveaux possibles…

    Des centaines de vaccins sont aujourd’hui en préparation ou en phase d’essai dans le monde !

    Dans la vaccinologie moderne, le business est roi ! L’industrie du vaccin n’est donc qu’à ses balbutiements ; (…) Dans ce contexte, chacun peut comprendre que les vaccins anti-polio ou anti-coqueluche (efficacité supposée et toxicité niée) sont une sorte de petit caillou dans la chaussure de l’investisseur… Il s’en fout l’investisseur de la polio et du tétanos.

    Mais il ne se fout pas du tout du principe vaccinal ; ça il faut le défendre ; car en défendant le vaccin, on défend aussi les anticorps monoclonaux ; et aussi la vision moderne de la médecine dite personnalisée. »

    C’est la raison pour laquelle les enjeux de ce débat sont énormes. Faire passer l’obligation des onze vaccins est capital pour l’industrie pharmaceutique. En écrasant la résistance, en remportant définitivement la victoire légale et médiatique en faveur des vaccins, elle s’ouvre la voie vers le marché le plus juteux du millénaire !

  3. Personne ne parle de l’obligation de l’état d’assurer la prise en charge et le dédommagement en cas de réactions défavorables et de séquelles suite a l’obligation vaccinale. Ce n’est le cas, actuellement que pour l’introuvable dtp et pas pour celui qui le remplace. L’état se décharge de sa responsabilité. Il faut que la Ministre eclaircisse ce point: l’obligation s’accompagne de celle d’en assurer les conséquences. Sans cette garantie, il faut réfléchir ànotre comportement. Nous assurons nos voitures, maison, notre chien etc et pour nos enfants nous avons une confiance aveugle à ce que nous raconte une industrie qui trimbale des gamelles impunément depuis des decennies ? Obligation vaccinale c’est Obligation pour l’Etat d’assumer toutes les conséquences de son dictât inconséquent.

    pour nos enfants
    Le vrai problème

  4. « Ce n’est qu’une question d’argent!!! »
    Tout est dit, vous êtes convaincu de les labo se gavent sur votre santé.
    Ce qui est probable, mais insuffisant car la vaccination n’est utile que massivement.
    L’alu n’est donc qu’un prétexte et l’intérêt général vos indiffère.
    Vous êtes donc antisocial et individualiste.
    Ayez le courage de l’admettre.

    • Toi guyot ferme ta gueule pauvre tocard ne pas vouloir se faire empoisonner ce n’est pas être anti social pauvre taré!Tu crois que que sanofi se soucie de la santé des gens?

  5. Exactement ! Et d ou nous enleve t on notre liberté de choisir ce sont nos enfants .

    • Et il parait que nous sommes en Démocratie!!! Où se trouve la liberté individuelle la-dedans? Nous n’avons pas voté pour cet individu, foutons-le dehors!!

  6. Ce qui me gêne, c’est que l’aluminium des vaccins n’est pas le vrai problème…je n’ai pas entendu parler de collectif pour supprimer l’aluminium de nos cuisine, deodorant,…ni les végétariens qui en absorbent par l’alimentation…Juste pour des vaccins. C’est juste un mauvais argument pour ne pas vouloir faire des vaccins.

    • Commentaire imbécile de quelqu’un qui ne réfléchit pas: pourquoi y aurait-il un collectif pour supprimer l’aluminium. Les gens sensés l’ont éliminé de leur consommation alors que les vaccins font pénétrer l’aluminium directement dans le sang et de plus sont obligatoires sans possibilité de choix.
      Ce n’est qu’une question d’argent!!!

    • Renseignez vous! Cela fait des années que l’aluminium des déodorants est montré du doigt pour sa nocissivité (cancer du sein, maladie d’Alzheimer), et que des pansements gastriques à base d’aluminium ont été retirés du marché. Et qu’il est indiqué de ne pas utiliser de papier aluminium avec des aliments acides. Alors comment peut-il être sans danger directement injecté dans le muscle?

Moi aussi je donne mon avis