Sauvons la biodiversité : dernière étape pour Maud Fontenoy et ses ambassadeurs

Rédigé par Aurore, le 18 Jan 2012, à 17 h 24 min
Sauvons la biodiversité : dernière étape pour Maud Fontenoy et ses ambassadeurs
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En direction du continent blanc

L’Antarctique, c’est le bout du monde… Un endroit blanc, lumineux, difficile d’accès. Alors que l’équipage est en route, la tension est palpable. Les jeunes adultes tentent d’apercevoir les baleines qu’ils devinent dans les eaux froides tandis que l’équipage est à l’affût des icebergs qui pourraient être dangereux.

Finir 2011 sur l’Antarctique

Le 31 décembre, une journée importante pour nos ambassadeurs qui ont mis le pied sur l’Antarctique. Leurs souvenirs ? Des étendues de glace, un paysage d’un blanc virginal, le sentiment d’appartenir à une toute petite famille, celle qui a foulé les glaces de l’Antarctique.

Comme symbole, et alors qu’ils sont au bout du monde, les 4 jeunes sourds, ambassadeurs de la biodiversité ont tenu à brandir une banderole montrant le logo de Maud Fontenoy Fondation ainsi qu’un « Je t’aime » en signes, lancé à la planète. Pour obtenir ses souvenirs, il a fallu affronter la glace, le froid et la nature un peu capricieuse. Mais il est sûr que ces jeunes-là repartiront des étoiles dans les yeux, d’autant plus qu’ils les ont vues, les baleines à bosse !

Le rêve au bout de l’effort

Les paysages de l’Antarctique se méritent, et cela même le 1er janvier. Les jeunes ambassadeurs l’ont bien compris lorsqu’ils ont commencé à marcher sur l’Antarctique afin de rejoindre un promontoire. L’effort a été important mais la vue était à la hauteur.

Les baleines à bosse de retour, les adolescents ont pu observer de plus près l’immense travail des cétacés qui avalent des milliers de litres d’eau pour filtrer le krill et le plancton nécessaires à leur alimentation. Et à la grande surprise des ambassadeurs, ils ont pu apercevoir un autre animal surprenant dans ces paysages : l’Homme. Car des scientifiques vivent sur cette terre hostile. Les bases scientifiques accueillent toute l’année de 1 500 à 5 000 individus.

Le 2 janvier, c’est déjà le jour du retour. Un dernier regard vers l’Antarctique et les manchots et c’est parti pour Ushuaïa et ensuite la France. Là, la vraie mission d’ambassadeur de la biodiversité commence, car il faut expliquer à tous pourquoi il est important de protéger la planète et les océans. Mais nul doute que ces ambassadeurs-là sauront nous convaincre.

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