Quelles sont ces liaisons internationales plus rapides en train qu'en avion ?

Imaginez-vous naviguant à travers un paysage somptueux, tout en gagnant du temps et en contribuant à la sauvegarde de notre planète. Quel enchantement !

Paris-Bruxelles et Londres-Bruxelles : le train le remporte sur l’avion

L’été a ouvert ses bras chaleureux, invitants et peut-être que certains parmi vous sont déjà à l’affût de la réservation idéale pour un périple exquis sur le Vieux Continent. Pensez-vous immédiatement à l’avion pour sauter d’un point A à un point B ? Repensez-y. Les chiffres parlent : les trains ont su détrôner les rois du ciel, non seulement en vitesse, mais aussi en empreinte carbone.

Accrochez-vous bien, nos deux premières escales nous emmènent à Bruxelles, la ville du charmant Manneken-Pis, depuis Paris et Londres, respectivement. Paris-Bruxelles, une petite danse de 300 kilomètres, est un trajet étonnamment rapide par rail, vous faisant gagner 142 minutes précieuses par rapport à un vol. Vous pouvez donc savourer une bière belge en un rien de temps. Londres-Bruxelles, c’est un autre voyage qui vous fait gagner 104 minutes, de quoi vous laisser plus de temps pour profiter de la Grand-Place illuminée.

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Madrid-Barcelone, Bruxelles-Rotterdam, Florence-Rome… : laissez-vous séduire !

Continuons notre voyage avec un saut de puce entre Rotterdam et Bruxelles. Proches comme deux gouttes d’eau, ces deux villes offrent un voyage rapide et économique, vous faisant gagner 83 minutes par rapport à un vol. Ensuite, laissez-vous tenter par le voyage Paris-Lyon, où la splendeur des Gaules vous attend 77 minutes plus tôt par le rail. Pour finir, n’oublions pas les délices de l’Espagne et de l’Italie. Un Madrid-Barcelone en train vous offre 56 minutes d’avance et pour un Florence-Rome, vous bénéficiez de 79 minutes supplémentaires pour vous délecter des merveilles de la Ville éternelle.

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En somme, l’époque où le voyage était tout aussi important que la destination semble faire un retour en grâce, une réponse consciente et séduisante à la question du changement climatique. C’est le temps des voyages lents, des trajets savourés, un temps où le voyageur éclairé préfère le charme du rail à la vitesse de l’air.