Le trou de la couche d’ozone, phénomène du passé ?

Rédigé par Guillaume, le 29 Oct 2012, à 17 h 59 min
Le trou de la couche d’ozone, phénomène du passé ?
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La couche d’ozone est un phénomène climatique qui a occupé le devant de la scène dans les années 80. Pourtant, ce phénomène n’a pas disparu, malgré les efforts entrepris qui ont permis d’amoindrir la propagation du phénomène.

Cela montre qu’une prise de conscience collective peut, dans les faits, faire changer les choses.

La couche d’ozone, du premier plan à l’oubli

La couche d’ozone était une problématique très en vogue lors des années 80. Mais depuis, il semble que ce problème se soit évaporé dans les airs, comme supplanté par les gaz à effet de serre. D’ailleurs, beaucoup de gens en ont oublié jusqu’à son existence.

Pourtant le trou dans la couche d’ozone n’a pas disparu et réapparait dans la stratosphère au-dessus de l’Antarctique.

Ainsi, pendant l’hiver 2011, la couche d’ozone a perdu 40 % de sa densité au-dessus de l’Arctique en raison des températures très basses cette année. Ce problème récurrent est en fait un simple amincissement de la couche d’ozone se produisant fréquemment en fonction des saisons.

Les produits chimiques ont pris le relais

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Dans les années 80, ce problème est devenu une priorité pour beaucoup et la mobilisation a amené à interdire de nombreux produits chimiques, responsables de l’amincissement de la couche d’ozone.

Car c’est en effet les produits contenant du chlore et du brome qui sont responsables en premier lieu de la destruction de l’ozone.

L’ozone est un gaz essentiel permettant de protéger la planète des UV du soleil. Sa disparition aurait entraîné de nombreux risques pour l’homme avec, en premier lieu, une importante augmentation des cancers de la peau ou encore des cataractes.

Devant cet état de fait et la mobilisation de la société civile, les pouvoirs publics ont réagi efficacement. D’importantes discussions avaient ainsi entraîné la prohibition des principaux éléments chimiques responsables. Ces composants chimiques dangereux se trouvaient essentiellement dans les aérosols, les réfrigérateurs et les climatiseurs.

*

 

La suite p.2 > La couche d’ozone sauvée par Montréal

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Guillaume dès la fin de ses études a eu envie d'écrire pour partager ses connaissances et ses convictions. Guillaume est notre spécialiste Habitat durable...

7 commentaires Donnez votre avis
  1. erreur, il s’appelait CHAMBRAIN – rue du renard à Rouen je crois

  2. Je suis inventeur et j’ ai 60 ans lorsque j’ avais 28 ans j’ ai unventé un système pour que la terre produise deux fois plus d’ oxygène et absorbe deux fois plus de gaz carbonique.
    en 1886 j’ ai écris au ministre de l’ environement, Mr Brice Lalonde pour l’ avertior de cette découverte et régler le problème de la pollution de l’ air dans le monde. La réponse de ce monsieur était très claire. il ne voyais pas le bénéfice de produire plus d’ oxygène et d’ éliminer le gaz carbonique. Une seule personne à donc pris la décision de ne rien faire contre la pollution. Les politique préfèrent donc trouver des solution qui taxes la population même si ces mesures sont inutiles. rapelons que l’ ozone est constitué de trois molécules d’ oxygène. outre la dépolution de la planète mon invention permétait d’ économiser la moitié de l’ énergie utilisé pour l’ éclairage et lutait aussi contre la faim dans le monde. Mais je reconnais qu’ il est difficile de faire payer des taxes lorsque le monde est parfait.

    • Cher Guillory, je comprends votre attitude, Mon père aujourd’hui décédé, avait breveté un type de moteur pour véhicule fonctionnant avec 20% de carburant et de l’eau. C’était en 1954 et j’étais jeune, mais mes souvenirs me remettent en mémoire sa déception à son retour d’un entretien à Paris ou on lui a fait comprendre gentiment, qu’il range son idée et son brevet afin de s’assurer une fin de vie paisible!
      Je vois bien là, la main mise des pétroliers sur tout ce qui pourrait diminuer leurs (faibles) revenus.
      Pauvre France, qui avance en reculant !!!!

    • cher Mikélange, à Rouen il y avait Monsieur Champlain je crois – et il a du s’exiler (moteur à eau) au Brésil et je me demande s’il n’a pas été assassiné – il y en a eu d’autres qui avaient mis au point des systèmes très satisfaisants tant au point de vue consommation, qu’au point de vue pollution – j’en ai connu deux et en dépit de son haut niveau pour le second (mais le premier était également très valable) rien n’a abouti – les lobbies de l’automobile, du pétrole, veillent.

      Donc, je crois également Guillory – de toutes façons il va bien falloir que le société change, de gré ou de force – nous ne manquons pas d’énergie, mais le cuivre, les terres rares viendront à manquer, il faut évoluer en sagesse.

      « let our fingers crossed » comme disent nos amis – espérons que la sagesse gagnera

    • Les lobbys qui étouffent les inventeurs et politiques ignards et influencés sont certes légion.
      J’ai connu moi-même un Allemand qui avait mis au point, semble-t-il, un système de rendement pour l’énergie solaire hors du commun. Mais, malheureusement, il est mort dans l’incendie « accidentel » de son bureau …
      Cependant aujourd’hui, malgré ses nombreux défauts (fesseboouc), internet a ça d’intéressant que cela permet aux anonymes de se faire connaître tout en se protégeant !
      Guillory, relancez votre invention, au moins sur des blogs ou sur des sites de business angel. Cela peut faire la différence aujourd’hui !

    • *ignares !!

  3. Pour les vitres, j’ai un pulvérisateur à pompe (comme il s’en fait pour l’huile). Pas de propulseur autre que l’air compressé, juste de l’huile de coude pour « recharger » l’engin en appuyant dessus un certain nombre de fois.
    Nous vivons en vase clos, tout ce qui traine dans l’atmosphère y reste tant que pas transformé. Les gaz CO2 et méthane (CH4) estimés responsables de l’effet de serre (utiles pour maintenir une température vivable (il n’y a pas de CO2 sur Mars, dommage), mais excessif quand ils sont en trop grande quantité) y restent tant qu’ils ne se combinent pas, sont piégés ou transformés. « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »
    La planète fonctionne sur des millions d’années, nous sur 100 ans environ, les choses du long, très long terme nous échappent. Ça n’est pas pour ça qu’il faille la sagouiner.

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