DualSun, le panneau solaire hybride thermique ET photovoltaïque

Voici une innovation française qui jette un pavé dans la mare de l’énergie solaire. Jusqu’à présent, en matière de solaire, il y avait deux sortes de panneaux : soit les panneaux photovoltaïques qui produisent de l’électricité à partir de la lumière du soleil, soit les panneaux solaires thermiques qui produisent de l’eau chaude. DualSun, après plusieurs années de recherche, a mis au point un panneau solaire qui réunit les deux fonctions. De quoi révolutionner le marché.

Rédigé par Stephen Boucher, le 29 May 2017, à 13 h 55 min
DualSun, le panneau solaire hybride thermique ET photovoltaïque
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Rencontre avec le fondateur de DualSun en 2013

consoGlobe.com a rencontré Jérôme Moutarde en 2013, pour mieux comprendre l’offre DualSun, qui bénéficie d’une image de qualité et de crédibilité qui rassure, contrairement à un certain nombre d’entreprises dans le solaire.

consoGlobe.com : que représente le marché des panneaux solaires hybrides ?

Jérôme-dualsun, panneau solaire hybrideJérôme Mouterde – Le marché du panneau solaire hybride est encore confidentiel, mais le potentiel, évidemment, est énorme. L’intérêt est de couvrir avec un seul équipement tous les besoins de la maison : eau chaude ET électricité.

consoGlobe.com : combien coûte un panneau hybride DualSun ? Quelle est sa rentabilité ?

Jérôme Mouterde – Il faut compter un budget pas tout à fait équivalent à la somme des deux dispositifs mais au total, pour un budget moyen de 30 % supérieur à la moyenne actuelle [estimée à 11.000 euros NDLR], on obtient 50 à 80 % d’énergie en plus. Une autre manière de dire les choses, est qu’au global, le ROI [retour sur investissement] du projet est bien meilleur puisqu’on obtient pour chaque kWh de 50 à 80 % d’énergie supplémentaire par rapport à un panneau photovoltaïque classique. On peut avoir une estimation du budget d’une installation DualSun sur notre logiciel de dimensionnement MyDualSun.

consoGlobe.com : Où sont produits les panneaux DualSun ?

Jérôme Mouterde – Nous faisons le pari de garder la production en France. L’échangeur thermique est fabriqué à Valence et l’assemblage de l’échangeur thermique et des cellules photovoltaïques s’effectue chez notre partenaire à Rouen.

consoGlobe.com : Quelles sont les difficultés que vous rencontrez dans la diffusion du panneau hybride DualSun ?

Jérôme Mouterde – Tout d’abord il faut démocratiser et crédibiliser la technologie du panneau solaire hybride. Or le contexte n’est pas très bon ; l’image du solaire est dégradée du fait des changements fiscaux, et surtout du fait que beaucoup d’utilisateurs se plaignent de pratiques peu recommandables d’un certain nombre d’acteurs de l’industrie solaire.

consoGlobe.com : Quelles sont vos prochaines étapes ?

Jérôme Mouterde – Un de nos défis est de démontrer la qualité du monitoring qui sert à suivre réellement la production d’énergie en direct de votre panneau solaire hybride.  Nous allons mettre en place 15 installations pilotes d’ici l’été, qu’il sera possible de suivre en ligne sur notre site. [NDLR : Le monitoring est le suivi à distance des performances des installations solaires DualSun. L’achat et la pose du matériel spécifique à ce relevé des performances sont pris en charge par DualSun pour les installations pilotes. Il est proposé en option pour les projets classiques avec certifications.]

DualSun, panneau solaire hybride

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Stephen Boucher est anciennement directeur de programme à la Fondation européenne pour le Climat (European Climate Foundation), où il était responsable des...

24 commentaires Donnez votre avis
  1. J’utilise un panneau solaire thermique sur ma maison, je serais intéressé par le panneau Dualsol. Je voudrais être tenu au courant de sa commercialisation prochaine.
    Merci d’avance.

  2. Bonjour à tous,

    Merci pour vos commentaires pertinents ! Je vous invite à consulter la rubrique FAQ sur notre site internet
    Si vous ne trouvez pas de réponses à vos questions, vous pouvez aussi nous contacter par email à contact@dualsun.fr

    Bien cordialement

  3. Et pourtant la solution pour réguler et surtout utiliser la production d’eau chaude solaire tout au long de l’année existe…

    Je chauffe 400 m² (très bien isolé) toute l’année sans autre appoint.

    J’utilise 40 m² de panneaux solaire tubulaires (d’une grange marque de chauffage Allemande) j’estime la production de pointe en été à environ 35 kw et à peine 2 kw par journée couverte en hiver, puissance très insuffisante puisqu’il le faut 6 à 8 kw/h par jour de grand froid(-10 à -15°).
    La solution de stockage de l’énergie que j’ai mise en œuvre il y a plus de 10 ans (inspirée d’une expérience Canadienne) consiste en 9 forages de 30m de profondeur distant de 3 m organisés en 3 rangées de 3, vous l’aurez compris, il s’agit de réchauffer la roche en profondeur avec l’excès de calories de l’été.
    Vers le mois de septembre la roche à 30 m de profondeur à une température de 70 à 80° suivant les années.
    De part mon ancien métier, j’ai réalisé tous les automatismes pour gérer tous ces échanges thermiques avec mes planchers chauffants.
    Malgré un hiver particulièrement défavorable cette année, « j’extraie » encore du sol de l’eau à 32°, mais avec le soleil qu’il fait aujourd’hui je suis déjà reparti en rechargement du sous-sol.

    Je ne parle pas de coût, volontairement car c’est sur au moins 2 décennies que l’amortissement se calcule si toutefois cela est possible car extrapoler le prix de l’énergie fossile sur les dix années à venir tient de la boule de cristal.

    • Bonjour,
      C’est toujours un espoir et une grande source de satisfaction pour moi de constater que des gens compétents peuvent trouver des solutions. Je mettrais un bémol sur l’énergie nécessaire pour les forages et l’installation qu’il faudrait prendre en compte dans le calcul du coût environnemental global. J’aimerai que ce type de solution soit accessible au grand public car tout le monde n’a pas les compétences et/ou le temps de de mettre en place ce type d’installation.

  4. Le problème que j’ai déjà soulevé est la dissipation de la chaleur fournie par l’eau en bonne saison.
    Rappel : à chaque bond de 2° environ, la production PV baisse de 1% et en été cela peut aller jusqu’a 30% de perte au moins…
    Solutions pour la bonne saison :
    – 1° utiliser l’eau chaude produite pour élever la température d’une piscine
    – 2° connecter le circuit d’eau au serpentin (dans mon cas il fait 700m à 1,5m de profondeur °) qui alimente une PAC.
    Cela permettra de réchauffer le terrain de sorte qu’en mauvaise saison, la température de l’eau sera plus élevée, ce qui augmentera le COP tout en prolongeant la vie de la PAC. Ce serait très rentable car, rappel abaisser de 2° augmente la production de 1%
    – 3° une troisième solution quand on n’a ni de piscine ni de PAC géothermique c’est de placer sous terre un serpentin suffisamment long et profond pour arriver à refroidir l’eau de sorte qu’elle s’approche à la sortie le plus possible de 20° pour pouvoir faire augmenter la production PV (voir point précédent)

    (°) Rappel : j’ai réussi à devenir autonome via une production annuelle PV d’au moins 11.000 kWh , laquelle assure ma consommation domestique et l’alimentation d’une PAC (géothermique) de 10,4 kW (radiateurs classiques et pas de chauffage par le sol).
    Lorsque je devrai remplacer dans 25 ans au plus tôt les panneaux actuels, il y a fort à parier qu’on aura conçu ce type de panneau hybride mais avec une fiabilité accrue (ce qui n’est forcément pas le cas dans la période actuelle de son lancement : les premiers usagers serviront de cobayes…).

  5. Le problème que j’ai déjà soulevé est la dissipation de la chaleur fournie par l’eau en bonne saison.
    Rappel : à chaque bond de 2° environ, la production PV baisse de 1% et en été cela peut aller jusqu’a 30% de perte au moins…
    Solutions pour la bonne saison :
    – 1° utiliser l’eau chaude produite pour élever la température d’une piscine
    – 2° connecter le circuit d’eau au serpentin (dans mon cas il fait 700m à 1,5m de profondeur °) qui alimente une PAC.
    Cela permettra de réchauffer le terrain de sorte qu’en mauvaise saison, la température de l’eau sera plus élevée, ce qui augmentera le COP tout en prolongeant la vie de la PAC. Ce serait très rentable car, rappel abaisser de 2° augmente la production de 1%
    – 3° une troisième solution quand on n’a ni de piscine ni de PAC géothermique c’est de placer sous terre un serpentin suffisamment long et profond pour arriver à refroidir l’eau de sorte qu’elle s’approche à la sortie le plus possible de 20° pour pouvoir faire augmenter la production PV (voir point précédent)

    (°) Rappel : j’ai réussi à devenir autonome via une production annuelle PV d’au moins 11.000 kWh , laquelle assure ma consommation domestique et l’alimentation d’une PAC (géothermique) de 10,4 kW (radiateurs classiques et pas de chauffage par le sol).
    Lorsque je devrai remplacer dans 25 ans au plus tôt les panneaux actuels, il y a fort à parier qu’on aura conçu ce type de panneau hybride mais avec une fiabilité accrue (ce qui n’est forcément pas le cas dans la période actuelle de son lancement : les premiers usagers serviront de cobayes…).

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    forum

  6. Un lieu commun est de penser que le moyen approprié pour produire de l’eau chaude sanitaire soit le chauffe eau solaire. En fait, la combinaison PV + PAC se présente comme plus avantageuse :
    « 20% moins cher et la clim’ en prime » :
    « L’alternative est d’installer 5 m² de panneaux photovoltaïques (PV) qui produisent seulement 500 kWh électrique par an mais sont suffisants pour alimenter une pompe à chaleur (PAC) qui déplacera la chaleur de l’environnement dans le ballon d’eau chaude sanitaire pour obtenir aussi 2.000 kWh d’eau chaude à plus de 45°C, exactement comme le système PST. L’investissement global est cependant de 4.000€ et les frais d’entretien annuel sont moindres. Mieux, en période estivale, la chaleur pompée dans la maison la rafraîchit pour le même prix.
    De plus, en cas de pénurie de soleil, le système PST utilise souvent une résistance électrique d’appoint qui consomme quatre fois plus d’électricité que la PAC pour le même résultat.
    L’alternative PV-PAC est donc moins chère tant à l’investissement qu’au fonctionnement tout en apportant une solution gratuite et écologique pour rafraichir votre habitation en été.»

  7. En été, il faudrait voir si l’eau chaude ne pourrait servir à la climatisation solaire, sinon c’est perdu, et aide moins à améliorer le rendement des cellules en les rafraichissant, surtout c’est là que le soleil « tape » le plus. La chaleur, c’est un peu comme l’électricité, pas facile à stocker pour l’hiver.

  8. Je l’avais déjà mentionné dans un autre message, le LABEL existe, c’est QualiPV (voir site mettre http devant +//www.qualit-enr.org/qualipv)
    Vous y trouverez également la liste des installateurs agréés proches de chez vous.
    Nous avons fait poser des panneaux en 2010. L’entreprise s’est occupé de TOUT (y compris démarches administratives): 1 seul interlocuteur du devis à la pose (hé oui, c’est le « patron » qui est monté sur le toit) et le raccordement par ERDF a été relativement rapide !
    Une petite fuite, suite à tempête ; le surlendemain, le problème était réparé !
    Et ça marche ! Bien sur le soleil en Picardie est surement moins présent que dans le midi… mais 1500 € de rentabilité annuelle pour un investissement de 10.000€ (déduction faite des avantages)… c’est plus intéressant que le livret A…

  9. Réflexion supplémentaire (je n’ai rien vu de tel abordé ici ou ailleurs à propos de ce système DualSun) :
    1° un système qui capte la chaleur du soleil n’est utile que si elle est utilisée. En été, cela sera donc sous-utilisé
    2° en été, les panneaux PV perdent 1% d’efficacité par bond d’environ 2° de température.
    La chaleur accumulée à l’arrière dans le système à eau va alors grever la production PV car en été, cette eau chaude sera peu valorisée (on ne prend pas de douches en pleine journée : on ne les prend donc pas lorsque la température est au plus haut dehors : on prend alors éventuellement des douches plus fraîches et donc qui refroidiront peu voir pas du tout les panneaux). Ce phénomène va s’aggraver sous les fortes chaleurs.
    Les panneaux PV pourront alors attendre plus facilement une température approchant les 100° et vu le réservoir de chaleur maintenue que constitue la partie de captage à eau à l’arrière, ils ne seront pas ventilés (à l’inverse des panneaux PV classiques). À 95°, la perte de production PV est alors de 35 % ! Le gain réalisé en eau chaude durant les périodes où elle sera utile risque de se voir absorbé par la perte énergétique durant les périodes plus chaudes.

    • Avec un ballon d’accumulation d’eau chaude ,cela résout le problème (douche,vaisselle le soir) et la machine à laver peut fonctionner dans la journée. Après,on peut imaginer d’autres systèmes pour décongeler,préchauffer les plats du soir,etc.

  10. P.S.
    Dommage qu’il n’y a aucune indication de prix et donc pas de possibilité de se faire une idée du temps d’amortissement pour budgétiser. Si le temps est trop long et dépasse par exemple 5 ans, on risque alors de se voir émerger des nouvelles technologies qui auront des avantages accrus (prix, performance et fiabilité).

  11. Idée très intéressante et astucieuse, et grand savoir faire d’ingénieurs français, ok il faut saluer et encourager, les problèmes techniques sont certainement réels mais surmontables.
    A une condition : l’éthique d’un fabricant de systèmes alternatifs, quand ce n’est pas la réglementation, devrait refuser d’installer des capteurs sur des maisons ou immeubles qui ne seraient pas en premier lieu correctement isolés. L’urgence c’est d’é-co-no-mi-ser l’énergie. Je ne joue pas les rabat joie, je veux juste dire que tout se tient. Si on ne fait pas cette priorité, c’est la porte ouverte aux effets d’annonce et aux charlatans (je dis quand même que DualSun me paraît très sérieux) . Il faut cesser le « consommez, nous ferons le reste »

  12. Bizarre le diagramme de production eau chaude et électricité, si je prends le 7/1, la production est de 600w/h pour les deux, thermique et électrique, le 10/1, il n’y a aucune production en thermique alors que c’est le même type de temps, mais il y a juste 3°C d’écart entre les deux jours, de même le 11/1 pas de production thermique alors qu’il n’y a que 5°C d’écart entre ce jour et le 7/1, j’en conclu que quand le temps est brouillé il n’y a pas de production thermique.
    Moi qui ai les deux séparés, quand le temps est brouillé, j’ai peu de production électrique, logique il faut beaucoup de soleil pour que ça produise, par contre le thermique fonctionne bien, parce qu’il y a des ondes infra-rouges qui passent à travers les nuages peu épais. C’est vérifiable sur les thermomètres et sur l’onduleur.
    De toute façon c’est un compromis, on ne peut pas avoir les deux à 100%, car le panneau photovoltaïque est devant le thermique et empêche certains IR de passer.
    Ce mode d’installation est valable si on possède peu de place mais est à éviter si on a de la place.

    • à voir,mais on peut très bien avoir le système DualSun et avoir à coté un système thermique en plus,dès lors qu’on le fabrique soi-même (déjà vu et facile),ce qui fera un budget toujours raisonnable.

  13. En tout cas, felicitations a ces deux jeunes pour leur courage / innovation dans ce domaine. J’espere que leur projet sera mene a bien et que cela fonctionnera.

  14. 1° On ne parle nulle part d’étanchéité : vu la proximité de l’eau avec du courant continu et les cellules qui ne peuvent en aucun cas souffrir d’humidité sous peine de destruction.
    Il faut savoir que dans le temps, du fait que les températures s’échelonneront de -15° à 85°, cela mettra à forte sollicitation les éléments qui les composent, et notamment les joints d’étanchéité.
    Il faudrait quelques années de recul (au moins 5 ans me semble-t-il) pour évaluer la tenue dans le temps et donc la fiabilité.

    2° Rien n’est non plus dit à propos de la garantie offerte : si le constructeur a confiance dans son produit, il devrait offrir les 25 ans offerts habituellement pour les panneaux PV. La garantie devrait aussi inclure des closes précises (quelle perte couverte, comment la contrôler…).
    Pour l’avoir vécu personnellement avec des panneaux qui comptent (paraît-il) pour les meilleurs (et les plus chers) du marché, je ne peux que me montrer très circonspect en la matière ; en effet, à peine après trois mois de fonctionnement, mes panneaux ont variablement changé d’aspect cf. http://www.retrouversonnord.be/Suiveur-_brunissement_Web.jpg ; alors que de tels défauts rentraient sous la rubrique « défauts de construction » couverte par la première garantie du constructeur, celui-ci n’a rien voulu en tendre, prétextant que la production était normale d’après ses mesures, d’ailleurs très parcellaires et indigentes : seul un relevé des productions sur les onduleurs a été fait et contrairement à la longue checklist de mesures approfondies que le constructeur s’était initialement engagé à suivre !

    Attention donc aux effets d’annonce propres à tout lancement commercial d’un produit et qui pourrait donc sinon abuser, du moins faire vivre des expériences douloureuses…

  15. 1° On ne parle nulle part d’étanchéité : vu la proximité de l’eau avec du courant continu et les cellules qui ne peuvent en aucun cas souffrir d’humidité sous peine de destruction.
    Il faut savoir que dans le temps, vu que les températures s’échelonneront de -15° à 85°, cela mettra à forte sollicitation les éléments qui les composent, et notamment les joints d’étanchéité.
    Il faudrait quelques années de recul (au moins 5 ans me semble-t-il) pour évaluer la tenue dans le temps et donc la fiabilité.

    2° Rien n’est non plus dit à propos de la garantie offerte : si le constructeur a confiance dans son produit, il devrait offrir les 25 ans offerts habituellement pour les panneaux PV. La garantie devrait aussi inclure des closes précises (quelle perte couverte, comment la contrôler…).
    Pour l’avoir vécu personnellement sur des panneaux qui comptent (paraît-il) pour les meilleurs (et les plus chers) du marché, je ne peux que me montrer très circonspect en la matière ; en effet, à peine après trois mois de fonctionnement, mes panneaux ont variablement changé d’aspect cf. http:// http://www.retrouversonnord.be/Suiveur-_brunissement_Web.jpg ; alors que de tels défauts rentraient sous la rubrique « défauts de construction » couverte par la premirèe garantie du constructeur, celui-ci n’a rien voulu en tendre, prétextant que la production était normale d’après ses mesures, d’ailleurs très parcellaires et indigentes : seule un relevé des productions sur les onduleurs a été fait et contrairement à la longue checklist de mesures approfondies que le constructeur s’était initialement engagé à suivre !

    Attention donc aux effets d’annonce propres à tout lancement commercial d’un produit et qui pourrait donc sinon abuser, du moins faire vivre des expériences douloureuses…

  16. J’avais cru lire un commentaire qui a disparu.
    Je confirme ce que disait cette personne : l’installation de panneaux photovoltaïques ou thermiques est délicat car ça nécessite d’avoir des compétences variées : il y a la partie « Couvreur » pour ne pas créer de fuites sur le toit, la partie « mécanique », et ou « électrique », la partie « plomberie » pour le thermique, .. Divers métiers alors que souvent les gens n’en ont qu’un (voire deux). S’il y a un manquement dans UN domaine, ça fuit, ou marche mal, ou incendie la maison, et les gens sont mécontents.
    J’avais entendu dire qu’une marque Allemande formait ses installateurs agréés afin que la pose soit parfaite et que ça ne déshonore pas la marque à cause de malfaçons, le seul moyen pour que ça se passe bien. Fabriquer, c’est une chose mais la pose est essentielle.

  17. Messieurs,
    Propriétaire d’une grande maison dotée de deux terrasses en banlieue ouest de Paris, je serais disposé à étudier la possibilité d’installer une source solaire mixte plus ou moins expérimentale dont la partie thermique viendrait en complément d’une installation au fioule pour chauffage-eau chaude en hiver et eau chaude en été.
    A disposition. Cordialement. 78380 BOUGIVAL

    • Bonjour,
      Pareil pour moi. Suis volontaire mais sur Tenerife.
      Je n’ai pas de toiture car je suis au rez-de-chaussée d’un petit immeuble mais je possède un jardin.
      Bien cordialement.
      M.G.

  18. le problème des panneaux c’est le sérieux…sérieux des fabricants et des installateurs…trop de gens se sont fait avoir et tout le monde est méfiant, il faudrait créer un label ou une autre forme de garantie fiable qui redonne confiance aux particuliers!

    • Le label existe, c’est QualiPV. Voir mon message plus haut.

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