Etat des stocks des poissons gravement menacés et à éviter
- L’anchois de France et d’ Espagne : la France et l’Espagne ont accepté de ne pas pêcher ce poisson dans le golfe de Gascogne en 2007, au profit d’une pêche uniquement à but scientifique mais l’accord ne semble pas parfaitement respecté
- Le caviar, l’esturgeon : risque de PCB, de dioxines, de pesticides et de mercure
- Le thon rouge de Méditerranée : les captures ont diminué de moitié en Méditerranée. Poids minimal de capture de 30kg. On craint qu’au rythme actuel, l’espèce sera quasiment disparue d’ici 2 à 3 ans.
- La lotte, baudroie de l’Atlantique Nord
- Le Lieu, colin d’Alaska pêché en Pacifique Nord
- Le Carrelé, plie de l’Atlantique Nord
- Le merlu : aussi appelé « colin » a vu le nombre de poissons géniteurs divisé par 2 en 20 ans
- Le flétan de l’Atlantique Nord
- La lotte d’Europe : risque de de dioxine et pesticides (aquaculture)
- La sole de la mer du Nord et de l’Altantique Nord : surexploitée, notamment dans la Manche, la sole est en grave danger. Taille minimale de capture de 24 cm.
- Le cabillaud : stock divisé par 5 en 20 ans, surtout en Europe, en voie de disparition.
- La dorade rose : a disparu, ou presque, du golfe de Gascogne
- L’empereur : menacé de disparition d’ici 3 à 5 ans. Cette espèce des grand fonds à la croissance lente, a une maturité sexuelle tardive et se reproduit peu. Pas de taille minimum pour sa capture.
- L’espadon : très menacé
- Le saumon sauvage d’Atlantique : ce poisson, 2 fois moins nombreux qu’il y a 20 ans, ne se reproduit plus dans 15 % des rivières où on le voyait habituellement. Taille minimum de capture : 50 cm.
- Le grenadier de roche : plutôt laid à regarder, ce poisson de grand fond est menacé de disparaître d’ici 3 à 5 ans. Pas de taille minimale de capture.
- Le pangasius du Vietnam (aquaculture)
- Le sébaste d’Atlantique Nord
La suite : les poissons qu’il vaut mieux éviter