Du fait de l’évolution du climat depuis 15 ans, certains en viennent à douter de la réalité du réchauffement climatique : hiver rude, pluies abondantes et inondations et températures qui stagnent sur le plan mondial …. Le climat aurait-il stoppé son mouvement vers plus de C02 et des températures toujours plus chaudes ? Non, il semblerait que ce plateau des températures ne soit masqué par 3 phénomènes …. provisoires.
Le réchauffement … stagne
Voici deux schémas qui se passent d’explication et qui montrent le palier sur lequel stagnent les températures depuis plusieurs années.
Le réchauffement climatique ralentit.
Les températures stagnent .. et alors ?
Les 13 millions d’hectares de forêts qui disparaissent chaque année sont responsables de 15 % des émissions de CO2 dégagées chaque année à l’échelle mondiale, c’est à dire grosso modo autant que les émissions de CO2 dues aux transports !
Malgré les rapports alarmistes du GIEC qui enfoncent le clou quant aux prévisions du réchauffement climatique et à son lien avec les activités humaines, les médias et le public connaissent une certaine perplexité du fait de la « pause climatique » en cours depuis plus d’une décennie. Le réchauffement ne serait-il pas aussi avéré qu’on le croyait ?
De quoi rouvrir le débat sur le réchauffement ?
Quelques faits pour remettre les choses au clair sur le climat de la décennie :
> Il n’y a plus de débat quant à la réalité du réchauffement : plus précisément, il n’y a plus de débat dans la communauté scientifique (avec seulement 0,6 % des publications scientifiques qui vont dans le sens d’un avis contraire). En revanche, il reste sur le terrain médiatique, des personnalités, des éditoriaux, des livres… qui continuent à manifester leur climatosceptiscisme. Et d’ailleurs, il semble que pour un tiers des Français le réchauffement climatique n’existe pas !
3 phénomènes naturels expliquent à eux seuls pourquoi les températures font une pause :
1 – L’activité du soleil s’est effondré :
L’activité de notre étoile est à un niveau très bas depuis le début des années 2000. Sur notre planète, cela signifie une baisse de l’intensité des radiations que nous recevons (de l’ordre de 0,15 Wm2, un niveau suffisant pour avoir un impact sur le climat).
Les cycles solaires sont généralement d’une durée de 11 ans.