2 – A cause du phénomène Nina, les océans absorbent plus de chaleur que d’habitude :
Le phénomène de la Nina a pour conséquence de favoriser l’absorption de chaleur par l’océan Pacifique par le biais des vents qu’il génère. Ce surcroit de chaleur se stocke au fond des océans en attendant d’être libéré à nouveau dans l’atmosphère quand le phénomène s’inversera. D’une certaine manière on peut dire que le réchauffement n’a pas disparu mais s’est réfugié au fond des mers, dans les grandes profondeurs.
Encyclo : El niña
Depuis 1950, la planète Terre connaît de nombreux épisodes de la Niña dont le dernier remonte à 2011. Ce phénomène climatique a pour origine une anomalie thermique des eaux équatoriales de surface de l’océan Pacifique centre et se remarque du fait de sa température anormalement basse de ces eaux.
3 – Des poussières dans l’atmosphère font écran aux rayons solaires :
A cause de nombre d’éruptions volcaniques majeures depuis le début 2005, des milliards de tonnes de poussières qui forment des aérosols dans la stratosphère.
Chaque grande éruption volcanique dégage de 1 à 1,5 milliards de tonnes de manière, du dioxyde de soufre notamment.
Sur image cette conçue par le Goddard Earth Observing System Model (GEOS-5), le rouge représente la poussière. Le bleu représente le sel marin dans les cyclones, le vert, c’est la fumée des incendies ; le blanc est le signe qu’il y a des particules de sulfate des volcans et des émissions d’énergies fossiles.
> Diffusion de poussières dans l’atmosphère
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