Petit rappel sur les bienfaits de marcher pieds nus
Souvenez-vous : la dernière fois, nous parlions du plaisir et des bienfaits de marcher pieds nus. Partout. Selon l’envie, l’humeur…mais pieds nus.
Nous disions qu’en plus du simple agrément d’être au contact direct de la terre, de l’herbe, cela contribuait à une bonne alimentation de nos cellules en énergie vitale, donc à leur renforcement et in fine, à une meilleure santé.
En fin d’article, nous évoquions même ces gens dans certains jardins public de Chine et d’ailleurs qui s’adonnaient à des pratiques étranges, pieds nus dans l’herbe. Pratiques étranges aux noms non moins exotiques de Taï Chi et Tchi Kong (ou QI KONG).
Pieds nus + respiration + 2 exercices de Tchi Kong (Qi Kong)
Nous consacrerons un jour quelques pages exclusivement à chacune d’elles. Mais je vous vous propose dès aujourd’hui de continuer à développer ce plaisir de marcher pieds nus mais cette fois-ci exclusivement dans l’herbe et en lui associant 2 mouvements de Tchi-Kong, les plus simples du monde et aux bienfaits fa-bu-leux !
Histoire de vous donner envie !
Note : je demande dores et déjà aux plus sceptiques de les essayer 3 minutes tous les jours pendant 10 jours avant de venir me « souffler dans les bronches » et de me traiter de Skippy (« Skippy, le grand gourou ! »(1)).
Un préalable : bien respirer pour rétablir le dialogue entre l’intérieur et l’extérieur (et combler le « trou de la sécu » !)
Bien entendu, vous comprendrez intuitivement que l’efficacité de ces mouvements n’en sera que plus accrue qu’elle aura été accompagnée d’une belle et profonde respiration – voir mon article sur le sujet :
La respiration est, je n’y reviens plus, le préalable à toute technique ou pratique de santé préventive (comme je dis toujours : si je me réveille le matin, que je constate que l’air entre bien dans mes poumons, que je n’ai mal nulle part et que j’ai un toit sur la tête : le reste c’est « tout bénéf ! »).
Lorsque l’on butte sur quelque chose que l’on ne parvient pas à maîtriser, on remarque effectivement à quel point le souffle se bloque. Nous restons en apnée, ce qui est néfaste à notre organisme et à notre psychisme.
Alors que c’est là précisément que rétablir au plus vite une respiration au cours fluide, profond et souple nous soulage immédiatement.
Rétablissement d’un beau dialogue entre l’intérieur et l’extérieur.
La plupart de nos blocages proviennent en effet d’un conflit avec les événements extérieurs suivi d’un brutal repli sur soi.
Une bonne respiration rétablit la circulation et l’ouverture nécessaires à l’équilibre général de l’être
Écrit comme ça, ça fait un peu « tarte à la crème », mais s’appliquer tous les jours à bien respirer associé à ce qui va suivre, c’est assurer le comblement d’une très grande partie du « trou de la sécu ». Promis, juré !
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