Dans la partie 1 consacrée à l’ Analyse et Réinformation Cellulaire , je vous décrivais ses principes. Pour rappel, l’ A.R.C, c’est donc : un accélérateur de guérison du corps et de l’esprit, le « bras droit » du thérapeute et un « booster » de traitement !
Depuis ce premier article, nous avons été « à la pêche » aux témoignages.
En effet, rien ne vaut les informations du terrain, surtout quand il s’agit d’une pratique peu connue et/ou décriée.
Petit clin d’oeil
Avant d’aborder les cas certes lourds, mais parlants et preuves de l’efficacité redoutable de l’A.R.C., je ne résiste pas à vous faire part d’un fait rigolo me concernant.
Lors de ma première séance d’A.R.C., la praticienne m’avait prévenu d’un premier effet visible de ma « réinformation cellulaire » : j’allais prendre 1/2 à 1 pointure de plus !
Une de mes problématiques était en effet un certain manque d’ancrage dans la réalité.
Suite à la réinformation cellulaire, cette ancrage, serait, m’a-t-elle prévenu plus fort et se traduirait aussi par un pied plus grand.
Et bien, c’est vrai : comme prévu, j’ai pris 2/3 de plus, donc un peu moins d’une pointure ! Incroyable ! Et je ne vous parle pas du mieux-être dans ma vie ! Mais nous ne sommes pas là pour parler de moi…
C’était juste une anecdote humoristique, mais bien réelle relative à l’A.R.C. dont je voulais vous faire part.
Place aux autre témoignages !
Philippe
Cas n°1 – Attachement excessif à la mère et maladie auto-immune.
Michel Larroche, docteur en médecine et concepteur de l’A.R.C. décrit un « cas lourd »
Patient souffrant d’histiocytose, maladie d’Erdheim-Chester depuis 2 ans.
C’est une atteinte de la moelle osseuse des os longs ; cette maladie évolue généralement vers la sclérose (2)
Traitement : 1 fois par mois jusqu’à résolution.
Précisons d’entrée – nous le répéterons sans doute dans d’autres observations – que les séances d’Analyse et Réinformation Cellulaire ont lieu une fois par mois jusqu’à résolution éventuelle du problème.
3 semaines de stabilisation de l’information traitée.
Il faut en effet 3 semaines de stabilisation de l’information traitée, pendant lesquelles les structures physiques et psychiques « travaillent » sur cette information. Il s’agit d’une maladie tellement « orpheline » que j’avoue bien humblement n’en avoir jamais, auparavant, entendu parler… Ou alors, j’ai zappé.
Les avis sont partagés sur cette affection. Certains spécialistes pensent que c’est une maladie génétique. Dans ce cas, a priori, l’énergéticien devrait logiquement se dire incompétent : jusqu’à preuve du contraire, je ne pense pas pouvoir modifier un ADN.
Raisonnons autrement si vous le voulez bien. L’homme que j’examine ce jour-là est âgé de soixante-treize ans. La maladie s’est déclarée il y a deux ans, elle est donc restée latente pendant sept décennies.
Deux hypothèses peuvent être émises :
- Elle est compensée pendant longtemps parce que le patient, jusqu’à un certain âge, est suffisamment « costaud » pour « passer par-dessus ». La baisse de forme due à l’âge laisse libre champ à la maladie contre laquelle l’organisme ne peut plus lutter. C’est plausible.
- Elle ne devait pas a priori se manifester, mais un fait déclenchant a déstabilisé le patient, changeant un certain nombre de paramètres dans son organisme et son psychisme, et la maladie jusqu’alors latente se révèle, servant de « sonnette d’alarme » pour signaler le déséquilibre qui s’est installé à l’insu de tous.
Le patient est asthénique, se sent très faible et a dû interrompre de nombreuses activités, et il est terrassé en moyenne deux fois par jour par des poussées de forte fièvre qui le laissent sur le flanc.
Sa mère était la « cause déclenchante » : attachement excessif
Dès le premier examen, ma lecture me révèle qu’un problème avec sa mère était la cause déclenchante. Lorsque je lui pose la question, il m’apprend que la maladie s’est déclenchée six mois après le décès de cette dernière. Elle avait quatre-vingt-dix-neuf ans, mais pour lui qui lui était extrêmement attaché, ce fut un effondrement.
Je fais d’emblée remarquer qu’un tel attachement assorti d’une telle conséquence me paraît un peu excessif : le cordon ombilical n’a manifestement pas été coupé.
La 2ème séance confirme le scénario + amélioration spectaculaire : reprise du sport !
La deuxième séance un mois plus tard confirme ce scénario, sans plus. Nous noterons que le patient mentionne une légère amélioration mais qui a peu duré après la première séance. Par contre, après la deuxième qui percute, bien entendu, plus profondément que la première avec de nouveaux éléments de compréhension, il connaîtra une amélioration très significative, avec raréfaction et allégement des épisodes fébriles et reprise d’activités sportives qui lui étaient interdites depuis deux ans.
Entre-temps, une nouvelle application de l’Analyse et Réinformation Cellulaire connaît sa mise au point finale : la possibilité d’identifier, de décrire et de corriger la genèse des schémas répétitifs transgénérationnels.
Nous n’avons, bien sûr, dans la plupart des cas et à plus forte raison lorsque le nombre de générations affectées augmente, que très rarement la possibilité de vérifier si nos conclusions sont exactes.
Mais la lecture effectuée en Analyse et Réinformation Cellulaire est extrêmement stricte.
On ne bâtit pas de roman, et nous nous efforçons comme tous les thérapeutes dignes de ce nom de ne pas inclure nos projections personnelles dans l’interprétation. Les éléments nous permettant l’analyse ont tous une signification extrêmement précise, les différentes combinaisons possibles de ces éléments nous raconteront donc une histoire bâtie sur une logique. Il n’y a pas de place pour la fantaisie.
Ce patient est donc le premier à bénéficier de ce nouvel apport technique, qui nous permet de dégager logiquement l’histoire suivante : 4 générations sont affectées d’une problématique d’attachement excessif, que nous pourrions même qualifier d’incestuel, entre les mères et les fils. Une précision pour ceux que le terme d’incestuel pourrait surprendre : « incestueux » égale passage à l’acte ; « incestuel » désigne plutôt un côté attachement, emprise, « inceste mental » sans passage à l’acte mais qui peut provoquer des dégâts au moins équivalents sinon pires puisque c’est dans les inconscients que s’incruste le fantasme.
À cette occasion, les éléments recueillis me le permettant, je fais une description des comportements maternel et filial très fine.
L’épouse du patient, présente à la séance, mentionne -en riant de bon coeur – que je viens de faire le portrait exact de la soeur de celui-ci ! Et lui, de son côté, me dit que j’ai fait également le portrait craché de son grand-père maternel.
C’est encourageant, d’autant que le résultat ne se fait pas attendre : cette fois il est spectaculaire.
Mentionnons que le patient effectue un travail personnel sur toutes les indications que je lui donne au cours des séances.
Il a donc déjà exploré et reconnu son attachement excessif à sa mère, et que ce dernier est la répétition d’une transmission transgénérationnelle.
La séance suivante, toujours par la logique interne de la lecture effectuée, nous suggère qu’à la quatrième génération ascendante il a dû y avoir inceste avéré avec passage à l’acte. Mère-fils ? Père-fille ? Je penche personnellement pour la deuxième hypothèse. Cette femme est-elle restée consciente de l’acte ? L’a-t-elle occulté, a-t-elle fait sur cet épisode de sa vie une amnésie lacunaire ? Quel que soit le cas, l’empreinte étant donnée, tout son comportement désormais en est une extrapolation, et elle devient incestuelle à l’égard de son fils. Désormais, cette empreinte ne peut que se transmettre au fil des générations, aboutissant au cas très particulier de notre patient.
Il a effectué en tout 7 séances. À l’heure actuelle, par précaution, je désire le voir trimestriellement pendant un an. On ne sait jamais, une fois la maladie signal d’alarme installée, si des récidives ne peuvent pas survenir. Puis, sur quelques années suivantes, contrôle semestriel pour la même raison.
Coût : 600 à 700€
Notes : comme il est absolument impossible de prévoir à l’avance, en raison des facteurs de complexité cas par cas, combien de séances seront nécessaires, la question du coût ne peut appeler de vraies réponses. Pour ceux qui trouvent les tarifs excessifs en raison du non-remboursement, je demanderai simplement s’ils veulent être remboursés ou guéris ».
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