Cas n°2 – Traitement des chevaux – lutte efficace contre le stress (1)
« Le mental est le principal fléau de l’espèce humaine ».
Michel Larroche explique
Petit chapitre sarcastique pour tous ceux qui auraient l’idée saugrenue de nous resservir le poncif selon lequel il faut y croire pour que ça marche, c’est psychique, c’est dans la tête, c’est de la suggestion, de la persuasion, etc.
Les chevaux, c’est bien connu, ont un mental tellement développé qu’on peut leur faire croire tout ce que l’on veut. Comme en plus ils sont bêtes, ils sont très accessibles à la suggestion et toujours au dernier qui parle. Vous êtes bien d’accord ? (Avis personnel de Philippe : « j’adore l’humour grinçant « second degré » de Michel Larroche ! »)
Eh bien voyez-vous ça marche encore mieux sur les chevaux que sur les humains : ils n’ont justement pas ce mental, fléau de l’espèce humaine, qui bloque toute possibilité d’évolution à coups de croyances. Chez eux, ça marche ou ça ne marche pas, ils ne posent pas de questions superflues, ne nous opposent pas de « oui mais… » à toute information objective ou suggestion de traitement personnalisé, et ne râlent jamais parce que ce n’est pas remboursé par la sécurité sociale.
Les résultats chez les chevaux peuvent être qualifiés de « signal carré » tant sur le plan des comportements dont les cavaliers disent que « c’est le jour et la nuit » que sur les maladies organiques, avec bien sûr un temps de réparation dans les cas chroniques.
Si vous voulez un exemple, la colique est toujours grave et fréquemment mortelle chez le cheval. Elle peut être déclenchée par un toxique, une alimentation non adaptée, un choc émotionnel, un fort état d’inquiétude, liste non exhaustive. Certains chevaux sont des « colicards », ce qui signifie qu’au moindre stress ils peuvent déclencher un début de colique.
Le traitement d’Analyse et Réinformation Cellulaire, dans ce cas chronique, allège et raréfie les crises dans les cas les plus durs et, dans la majorité des cas, les supprime.
Quant au cas aigu, avec traitement en médecine vétérinaire classique et surveillance rapprochée, s’il ne nous vaut pas l’opération, il nous vaut en tout cas au bas mot quarante-huit heures d’angoisse. La plupart des cas dont je me suis occupé jusqu’à présent ont connu une résolution entre six et douze heures, avec diagnostic précis de la cause déclenchante confirmé dans une forte statistique par le propriétaire ou le soigneur.
Un grand merci aux chevaux qui me permettent de mettre au point les nouvelles données techniques. Je vous ai parlé plus haut du « transgénérationnel » mis au point dans l’année 2011. Je l’ai tout simplement essayé sur les chevaux pour la raison suivante : la généalogie souvent est facile à remonter, grâce aux carnets d’élevage. D’autre part, les chevaux se reproduisent bien plus vite que nous et les générations sont plus courtes. Il nous a donc été possible de remonter dans les générations et d’interroger les éleveurs. La statistique de confirmation de nos analyses énergétiques a été de plus de 80 %. Qui dit mieux ? Avec, en plus, les résultats probants des traitements.
Mais vous n’êtes, bien entendu, pas obligés de me croire ».
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