Des études sont encore à mener
Les nutritionnistes manquent encore d’ informations pour favoriser de façon générale l’usage des probiotiques dans leur pratique, et de nombreuses questions demeurent comme : quelle souche faut-il préférer pour quels maux ? À quelle dose selon la personne ? Sous quelle forme ? Réfrigérée ou encapsulée ? En prévention ou en traitement ? À l’heure actuelle, il n’y a pas de consensus scientifique sur ces questions.
D’autre part, pour obtenir des effets vraiment thérapeutique, on doit se tourner vers des produits plus spécialisés, qu’on ne trouve pas à la première épicerie qu’on croise. Ces probiotiques (par exemple BioK) présentent une composition bien plus complexe et contiennent des quantités beaucoup plus élevées de bactéries (30, 50, voire 450 milliards de bactéries).
>>>Dans tous les cas, dans un futur proche, les probiotiques vont probablement occuper une place de choix dans le traitement des maladies inflammatoires chroniques intestinales et notamment la prévention des rechutes.
Toutefois, bien sûr, si vous mangez régulièrement des fruits et légumes frais, que vous possédez un mode de vie sain et que vous ne prenez pas d’antibiotiques, vous n’avez pas besoin de ces probiotiques. Même si consommer une petite bouteille ou un yaourt de lait fermenté tous les matins, est un geste pour éviter les petits désagréments éventuels !
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