DisaSolar : des panneaux classiques à la 3ème génération
La commercialisation de panneaux photovoltaïques des deux premières générations ne suffit pas à Stéphane Poughon, qui voit plus loin, pour la pérénnité de l’entreprise et par goût du challenge à la fois. Ainsi, il a engagé DisaSolar dans la voie de la 3ème génération de panneaux photovoltaïques depuis quelques années. Une opération facilitée par le fait que DisaSolar appartient au groupe Disa/Megamark dont l’une des spécialités ets justement l’impression et la pose de films souples. DisaSolar espère donc devenir une référence dans la fabrication du modèle Organic PhotoVoltaics (OPV) par jet d’encre.
DinaSolar, un projet poussé par l’ambition
Au-delà même d’être une référence, l’ambition non dissimulée est de se poser en leader des panneaux troisième génération fabriquée par impression jet d’encre. Malgré la taille du défi, Stéphane Poughon est confiant : le marché croît d’une manière générale et l’innovation est de mise. Même si pour l’instant c’est un marché de niche, on va demander au photovoltaïque de s’adapter aux conditions, d’où des panneaux plus souples. DisaSolar n’est pas seule dans l’aventure puisque l’entreprise est soutenue par la Région, ainsi que par Oséo et la DGA. Il a ainsi été possible de signer un contrat recherche et développement pour travailler sur des panneaux solaires mimétiques. Pour l’instant la PME produit des modules de 30x30cm mais pourrait à terme concevoir des modules de taille sur mesure en impression 3D.
Visuels : © DR, DisaSolar
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