La mort, c’est top ?
Souvent, nous pleurons la disparition d’un proche. Ce n’est en fait pas lui qui souffre, mais nous… Ce n’est pas lui qui est triste, mais nous, notre ego, notre « petit moi ». Lui, est bien ! Presque tous les « décédés » revenus le disent ! Posé comme ça, c’est brutal. Mais à la lecture du livre, c’est limpide !
Conscience analytique et conscience intuitive
Il est utile de :
- séparer notre conscience analytique de notre conscience intuitive qui est une conscience « pure »
- savoir que notre cerveau est un récepteur de cette conscience « pure » et non son producteur : il reçoit la conscience, tel un poste de radio au lieu de contenir la conscience comme le ferait un disque dur. En effet, s’il en était le producteur, ces personnes mortes cérébralement n’auraient pas pu vivre, voir, sentir, ressentir tel qu’elles l’ont vécu, vu, senti, ressenti… « Décédées », seule leur conscience intuitive fonctionnait « à plein » ; la conscience analytique ne fonctionnant plus.
Conscience analytique
Cette dernière est celle qui nous écrase littéralement, nous fait croire que la réalité se limite au monde matériel et nous empêche au final d’être vraiment heureux et en paix.
Certes, elle est essentielle à notre vie de tous les jours : repères de temps, de lieux, repères sociaux (hiérarchie, récompenses et sanctions, possessions matérielles,…). Mais elle repose sur un système de valeurs extérieures totalement artificielles, conventionnelles qui viennent de l’éducation ou d’une expérience de vie.
Conscience intuitive
En revanche, la conscience intuitive n’est pas dans l’analyse, la réflexion, le mental, l’ego. C’est une connaissance directe de la vérité.
C’est une perception spontanée, non soumise au temps, autonome, indépendante…
C’est cette conscience intuitive, véritable accès à la vérité et au détachement, que les « décédés » nous donnent envie de développer pour accéder à notre « moi authentique », sachant mettre en sourdine notre conscience analytique dont nous avons besoin…mais en fait, pas tant que cela.
Celle-ci produit des informations nous rendant souvent malheureux en privilégiant le paraître à l’être dans l’ici et maintenant.
Les « décédés » nous disent que, débarrassés de notre enveloppe de chair, nous saurions enfin à quoi ressemble notre véritable nature.
Tout en respectant la vie, en étant bien vivants, nous devrions donner/prendre de la distance par rapport à notre corps pour nous aider à affronter certaines épreuves de la vie.
Le secret du bonheur (ou un des secrets du bonheur) ne serait-il pas alors de ne plus avoir peur de sa mort ? À la condition d’aimer pleinement la vie : pas de suicide, pas d’acte kamikaze !
Le Dr Charbonier nous indique également quelques exercices simples de méditation/respiration, de lâcher-prise,…permettant de cultiver, de développer notre conscience intuitive.
Une fois encore, le plus fort : ce qu’il nous raconte n’est pas une théorie : ces « miraculés » qui, pour près de 80 %, ont changé de vie, sont profondément heureux, en paix et sereins, quelque soit leurs conditions (physiques, matérielles, sociales,…).
RÉSUMÉ – Les 3 clés sont donc :
1- Comprendre que nous pouvons être assimilés à une entité habitant un corps le temps d’une vie terrestre et que notre existence se poursuit ensuite ; ce qui permet de prendre de la distance par rapport aux épreuves.
2- Apprendre à se libérer de sa conscience analytique qui juge, mesure, évalue et donc renforce notre ego.
3- Apprendre à se connecter à sa conscience intuitive qui agit comme un émetteur récepteur d’informations.
Après notre mort, nous comprendrons peut-être que notre existence terrestre n’est qu’une très courte étape de notre évolution. Alors, ne la gâchons pas en choisissant de mauvais chemins.
Profitons de ce 1er novembre pour y réfléchir… Prenez soin de vous !
Le bonheur, comment ça marche ?
Philippe, réflexologue diplômé et praticien depuis 10 ans, praticien Reiki (Niveau III) dans la région de Lyon. Retrouvez tous ses conseils sur sa page Santé Préventive
NOTE IMPORTANTE : Veuillez noter que Philippe n’est pas médecin ni thérapeute. Les conseils décrits dans ses interventions sont issus de ses rencontres avec des praticiens de thérapies énergétiques, des savoirs traditionnels et des ouvrages qui y font référence. Il vous invite à éprouver vous-même ces techniques, sans vous déconseiller toutefois d’avoir recours à la médecine conventionnelle.