La banquise absorbe 12 fois plus de chaleur que l’eau qui la remplace. Leur fonte accélère donc le réchauffement via l’effet albédo. De plus, le réchauffement détériore la capacité des végétaux à absorber le carbone. En 2003, les forêts ont dégagé plus de C02 qu’il n’en ont absorbé pendant la canicule.