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SLOW LIFE : durable, local, bio
Pour rejoindre le Soneva Gili, il ne faut que 20 minutes en speedboat depuis la capitale. Le temps de se débarrasser des chaussures et des les ranger dans un petit sac en toile recyclée où elles resteront pour obéir à l’injonction « No news no shoes ».
No shoes sur le sable blanc, les espaces en bois poli, sur les vélos dont les pédales sont recouvertes de confortables chaussettes de coton. No news parce qu’il faut fouiller pour trouver l’écran plat caché derrière le mur en bambou et ne pas utiliser son portable dans les lieux publics. Car si, bien sûr, l’offre se veut résolument au service du client qui peut obtenir absolument tout ce qu’il souhaite – en appelant son Mr Friday, clin d’oeil au livre de Robinson Crusoe déposé sur la table de nuit, joignable jour et nuit -, une opération d’éducation subliminale sur la clientèle est bel et bien en marche.
S’adonner à un rythme de vie ralenti
On l’appelle le SLOW LIFE – sustainable, local, organic, wholesome. Ici, on vit durable, local, organique et sain. Le vrai luxe est là : pas de pollution, pas de bruit sauf ceux de la nature, reconnexion avec soi et la nature préservée. C’est l’intégration intelligente et respectueuse au sein d’un environnement qu’on nous demande de partager à travers des pratiques durables.
Ce qui, du haut de l’observatoire astronomique niché dans les arbres, sous notre douche à ciel ouvert ou dans la baignoire transparente au-dessus de l’océan, à table avec les plus grands chefs de la planète, sous l’eau en compagnie des espèces colorées les plus belles ou plongé dans un bon livre sur la terrasse de notre villa de 210 m2 (elles vont jusqu’à 1.400 m2, comme la Private Reserve, accessible par bateau et que vous pouvez acheter – une première aux Maldives), n’est franchement pas insurmontable.