Ampoules basse conso, le guide d’achat

Rédigé par Jean-Marie, le 31 Aug 2011, à 21 h 51 min

Comment choisir une ampoule basse consommation ?

Il existe une large gamme d’ampoules à faible consommation énergétique et de différentes technologies. Toutes les ampoules présentes sur la boutique se distinguent par :

  • Une haute efficacité énergétique (classe d’énergie A ou B),
  • une durée de vie de minimum 8 000 heures (vs. 1000 heures pour une ampoule à incandescence)*.

Ces nouvelles technologies de substitution aux lampes à incandescence énergivores existent sous plusieurs formes, tailles, et culots.

Voici un guide d’achat pour vous aider à choisir le(s) bon(s) modèle(s), selon vos besoins réels :

Quelle est la réglementation en vigueur ? Quels types d’ampoules économes pour remplacer vos anciennes ampoules ?
Savoir décrypter leur étiquette Choisir le bon culot
Choisir la bonne forme Les autres critères de choix
Nos conseils pour chaque pièce de la maison Questions réponses

 

Ampoules basse conso : quelle est la réglementation en vigueur ?

Le 23 mars 2009 est entrée en application une directive européenne EuP 2005/32/EC visant le retrait progressif des ampoules  domestiques les plus énergivores, dont les ampoules  à incandescence classiques.

Entre le 1er septembre 2009 et le 1er septembre 2012, elles auront donc disparues pour être remplacées par des ampoules qui consomment moins d’énergie.  A partir de 2016, seules les ampoules  de classe A et B seront autorisées.

Calendrier de retrait du marché des ampoules à incandescence

– au 30 juin 2009 : des ampoules domestiques de classe D, E, F ou G d’une puissance supérieure ou égale à 100 watts ;
– au 31 décembre 2009  : des ampoules domestiques de classe E, F ou G d’une puissance supérieure ou égale à 75 watt ;
– au 30 juin 2010  : des ampoules domestiques de classe E, F ou G d’une puissance supérieure ou égale à 60 watts ;
– au 31 août 2011 : des ampoules domestiques de classe E, F ou G d’une puissance supérieure ou égale à 40 watts ;
– au 31 décembre 2012 : des ampoules domestiques de classe E, F ou G d’une puissance supérieure ou égale à 25 watts.

Sont exclues du champ d’application : les lampes à réflecteur  (« spots »), les lampes dont le flux est < 60 lm et > 12 000 lm, certaines lampes dites «spéciales» comme celles incorporées dans l’électroménager ; les lampes à UV, Infra-Rouge ou de lumière noire et certaines lampes très basse tension.

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Jean-Marie Boucher est le fondateur de consoGlobe en 2005 avec le service de troc entre particuliers digitroc. Rapidement, il convertit ses proches et sa...

8 commentaires Donnez votre avis
  1. Aurelie tu ne crois pas que c’est nous

  2. Wesh la banane !

  3. goudou goudou goudou goudaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

  4. bonsoir

  5. Bonjour,
    Je me permets de vous faire connaître une découverte, c’est un produit en cours de lancement par des jeunes diplômés canadiens, une ampoule qui optimise le rendement des Leds, et aui n’a jamais consommé aussi peu. Je vais en acheter une pour ma part:
    kickstarter.com/projects/619878070/nanolight-the-worlds-most-energy-efficient-lightbu

  6. Bonsoir,
    Juste une question :
    D’aprés l’oms la concentration du mercure dans l’eau ne doit pas dépasser 0.5 microgrammes par litre.
    et je vois que dans une ampoule basse consommation il y en à ‘quelques » milligrammes de mercure, ce qui fait « quelques » milliers de microgrammes de mercure,
    mais alors mille ampoules, ça fait « quelques » millions de microgrammes ainsi de suite alors les déchets quand elle sont grillées?
    Bien sûr comme c’est pas du tout surveillé je suppose que, discipliné,chacun ramène son ampoule et que les gens qui les déchets d’ampoule ne perdent rien en route parce que le mercure d’une ampoule dans un litre d’eau ça fait quand même « quelques milliers de fois plus que la norme de potabilité.Il faut surtout pas la perdre.
    Je suppose que c’est pas le même mercure ?

  7. Les objectifs de cette décision, qui constitue par ailleurs un engagement du Grenelle de l’environnement, sont tout d’abord d’ordre écologique : le remplacement programmé devrait permettre d’économiser 8 térawatts-heure (8 milliards de kWh) par an à l’horizon 2016, soit deux fois la consommation électrique de Paris. « Il évitera par ailleurs l’émission de près de 1 million de tonnes de CO2 chaque année », selon Bruno Lafitte, ingénieur à l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe).

    Car côté efficacité énergétique, les lampes basse consommation (LBC) affichent des performances à faire pâlir de jalousie leurs voisines à incandescence : elles convertissent en lumière 40 % de l’énergie électrique qu’elles consomment, contre 5 % pour les lampes à filament. En moyenne, les fluocompactes de 12 W possèdent ainsi le même flux lumineux, de 740 lumens, que des incandescence de 60 W. Résultat : elles affichent 80 % d’économies d’énergie au compteur.

  8. Je viens de découvrir cette info : 3,8 millions de ménages consacrent plus de 10% de leurs ressources à leurs factures d’énergie … vive les ampoules basse conso !

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